Fusions-acquisitions refroidies par le protectionnisme

Fil d’actus Les Echos | 20 novembre 2018

54% de 2.600 dirigeants sondés par EY disent qu’ils ne poursuivront pas de stratégie active de fusions-acquisitions dans les 12 prochains mois, malgré qu’ils soient 85% à observer une amélioration économique. Les acquisitions, créations de joint-ventures et alliances ne mobilisent que 10% des dirigeants, et les cessions seulement 4%. En cause principale de cette frilosité, l’interventionnisme étatique, identifié comme le plus grand risque sur les fusions par 50% des sondés.